L’HIFU technologies (high-intensity focused ultrasound) Ultrasons focalisés de haute intensité est un traitement non invasif qui façonne le corps, utilisant des ultrasons de haute intensité dans le but de perturber les cellules graisseuses par voie transdermique.
Une publication récente dans la revue scientifique « Seminars in cutaneous medicine and surgery» montre que cette technologie particulière applique à la surface de la peau une énergie de faible intensité mais fournit une énergie intense et focalisée sur la graisse sous-cutanée. À la surface de la peau, l'énergie appliquée est faible pour éviter l'inflammation. En focalisant les faisceaux d'ultrasons à une profondeur spécifique sous la peau et en le combinant avec des techniques d'application appropriées le résultat obtenu est la destruction du tissus graisseux. Activant ainsi une réponse inflammatoire par des signaux chimiques et attirer les macrophages. Les macrophages vont digérer les lipides et les produits du dégradation cellulaire entraînant ainsi une diminution totale du volume de tissu graisseux local.
Des études cliniques et histologiques montrent exactement ce qui se passe sous la peau. Les études histologiques ont clairement montré que les cellules adipeuses sont détruites par la technologie HIFU. La corrélation entre la profondeur focale, les niveaux d'énergie et les résultats cliniques est évidente. La diminution moyenne de la circonférence après traitement à l'abdomen et à la taille est d'environ 4 à 5 cm. Selon cette étude, HIFU est une technique sûre et efficace pour sculpter le corps de manière non chirurgicale en réduisant les dépôts graisseux.
A la Clinique DEL MAR Nous utilisons l’Ulthera qui est la technologie HIFU de référence. Elle appliquée à diverses parties du corps comme le ventre, les hanches et les bras.
Pour plus d'informations, vous pouvez contacter l'équipe scientifique de la Clinique DEL MAR.
Source: High-intensity focused ultrasound effectively reduces adipose tissue, Fatemi A1. Seminars in cutaneous medicine 2009 Dec;28(4):257-62. doi: 10.1016/j.sder.2009.11.005.